( 28 septembre, 2007 )

VENGIRA

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Depois de velhas e usadas morriam em condições desumanas, culminando com a época de caça às bruxas. Nesse contexto surge uma poderosa bruxa em um corpo jovem que todo nobre desejaria possuir, e com seu poder de transformação fundou uma sociedade chamada “Mulheres de Cabaré Damas da Noite”. Nessa sociedade as amantes passaram a se reunir e receber os homens para o prazer, com liberdade e condições de aprender magia, encantos, feitiços e simpatias, no intuito de conseguir o que desejavam dos homens. Porém ainda assim padeciam sem realizar seus sonhos.

       Esta bruxa que fundou a sociedade era chamada de Zaira Male, e ela transmitiu às aprendizes de feitiçaria o culto às outras que morressem, e assim nasceu o culto à Pomba Gira, a incorporação das antigas nas mulheres que tinham sensibilidade mediúnica.

             A mensagem trazida pela incorporação era o conhecimento de magia e encantos para defender as mulheres vivas no mundo dos terrores da escravidão do sexo, trazendo ainda informações para as cultuadoras de como conquistar o homem amado.

       A partir desta época as mulheres começaram a ter mais respeito, com mais liberdade para realizarem seus desejos, antes exclusivos aos homens e proibidos para elas.

       E o mais interessante é que estas entidades femininas se manifestam sempre lindas, corpos esculturais, jovens e felizes. São espalhafatosas, festeiras, sorridentes e cheias de malícia com uma liberdade de expressão invejável.

       As Pombas Giras não concebem moralmente o pecado original, não crêem em inferno nem em céu, apenas acreditam que para gerar a vida o amor é o mais importante para se unir duas pessoas. Na finalidade de realizar um sonho, que culmina com o sexo, força motriz da geração de vida, elas utilizam seus poderes, a magia para manipular a natureza e unir duas almas. Um sonho de milhares de pessoas que elas mesmas sonharam mas não alcançaram na vida que tiveram, e por isso mesmo voltam para cumprir esta tarefa unido você a seu amor.

( 28 septembre, 2007 )

Investissement et croissance

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( 28 septembre, 2007 )

Productivité et croissance

Productivité et croissance

La notion de productivité

 Dès la première phrase de La richesse des nations, Adam Smith met en avant le développement de « la puissance productive du travail ». Karl Marx fondera une grande partie de ses analyses sur le développement des « forces productives ». Cela peut surprendre, mais le mot « productivité » que, à leur manière, ces expressions recouvrent, est d’usage relativement récent. En 1968 encore, dans un ouvrage portant sur la mesure de la productivité, André Vincent parle de la « confusion qui règne en ce domaine » (Dunod, p. 1). Si, aujourd’hui, ce concept ne fait plus objet de débat, il n’empêche que les imprécisions et les confusions obscurcissent encore son usage.Au sens simple et obvie, la productivité est le rapport entre la production et les facteurs de production qui ont permis de l’obtenir. Cette définition étant donnée, il reste à préciser exactement ce que l’on met au numérateur et au dénominateur.

  • Quant au numérateur, il faut faire le choix de données en nature ou en unités monétaires
  • Quant au dénominateur, le nombre de questions est plus large et les solutions sont plus complexes à mettre en œuvre :

1.    On peut parler de la productivité du capital, du travail, voire des consommations intermédiaires.2.    L’idéal serait une combinaison des trois, dans des proportions qu’il n’est pas simple de définir. En effet, il faudrait être capable de mesurer la part respective de chacun des facteurs dans la production, ce qui suppose une unité de mesure commune. Celle-ci ne peut être que monétaire.

3.    La réalité est que l’on choisit de parler de « productivité apparente ». Cela signifie que, par convention, tous les progrès de productivité sont mesurés par rapport à un seul facteur. Comme l’activité économique est faite pour l’homme, on calcule le plus souvent la productivité apparente du travail.

4.    Si l’on retient le travail, faut-il considérer le nombre d’hommes ou le nombre d’heures ?

 Le cas apparemment le plus simple : la productivité de la terre

La formule la plus simple consiste à utiliser des grandeurs en nature. Il est facile de comprendre que, en moyenne, on produit en France, 62,30 quintaux de blé à l’hectare (2003). Il s’agit d’une forme de « productivité du capital ». Mais la formule est trompeuse car la production à l’hectare dépend de la fertilité de la terre, éventuellement de l’usage d’engrais (productivité du travail humain), voire de l’amélioration de la qualité des semences (productivité des semences – consommations intermédiaires – permise par la productivité du travail humain).L’avantage de cette formule est qu’elle permet des comparaisons spatiales et temporelles. On sait par exemple que les rendements moyens de blé atteignaient difficilement 10 quintaux à l’hectare à la veille de la révolution industrielle. Cela permet de dire qu’ils ont été multipliés par 6,23 en deux siècles environ.

En même temps, cette formule est incomplète. En effet, pour atteindre une production de 62,30 quintaux de blé à l’hectare, il faut aujourd’hui beaucoup moins de travail qu’il y a deux siècles. Jean Fourastié estime ainsi que le temps de travail nécessaire pour labourer, semer, entretenir, récolter, stocker un hectare de blé est passé de 200 heures au XVIII° siècle à moins de 7 heures en 1974 (Les Trente Glorieuses, Paris, Fayard, 1979, p. 217). On peut donc dire que la productivité du travail a été multipliée par 28,57 (200/7).

Ainsi, la productivité combinée de la terre, des consommations intermédiaires et du travail a été multipliée par 178 (6,3 x 28.57) sur deux siècles environ ! Il est évident que le revenu de l’agriculteur n’a pas augmenté dans la même proportion : compte-tenu de la baisse du prix du blé, la productivité en valeur a beaucoup moins progressé.

Une difficulté essentielle : les comparaisons intersectorielles

Savoir qu’un agriculteur récolte 62,30 quintaux à l’hectare est intéressant. Par contre, cela ne permet pas de dire si l’agriculteur est plus efficace que le salarié de l’automobile pour qui l’on calcule une production moyenne de 70 véhicules par an (chiffres de l’usine Renault Flins en 2000 selon l’indice de productivité automobile annuel de World Markets Research Centre).Cette comparaison suppose de passer en unités monétaires. Malheureusement, une nouvelle difficulté surgit : les prix de marché qui seront utilisés dépendent pour une part du degré de concurrence sur ce marché qui déterminent eux-mêmes le niveau des salaires. Le produit « blé » étant plus homogène, et donc plus concurrencé que le produit « Mégane » de Renault, il est vraisemblable que la concurrence sera plus forte dans le premier secteur que dans le second. Dans ce cas, la productivité en valeur sera le reflet partiel des structures de marché.emoticone

De plus, ce chiffre si simple de 70 véhicules par homme est une construction statistique dont les règles de base doivent être clairement définies. Ce ne peut être le simple ratio du nombre de voitures produites sur un site au nombre d’hommes qui travaillent sur le site. Il faut en effet tenir compte des nombreux sous-traitants qui fournissent les composants de la voiture jusqu’à la ligne de production elle-même. Or, cette externalisation n’est pas stable dans le temps et pas nécessairement homogène dans l’espace. Enfin, le nombre de pièces étant différent d’un véhicule à l’autre, la productivité du travail varie selon la gamme de véhicules.

La mesure la plus neutre : les évolutions de la productivité

Il reste alors une solution praticable, celle qui consiste à utiliser dans les comparaisons, non pas les niveaux absolus de productivité, mais les évolutions sur une période de temps. Sous réserve des méthodes de calcul, les résultats donnent une bonne indication des évolutions relatives de la productivité. Si elles sont structurellement différentes, on peut alors penser que les niveaux de productivité le sont aussi.emoticoneCette formule est néanmoins troublante. On dispose d’un certain nombre d’informations sectorielles qui montrent que les progrès de productivité de l’industrie sont extrêmement rapides et qu’ils dépassent, et de loin, ceux de l’agriculture. On en retire donc que la productivité par tête dans l’industrie est supérieure à celle de l’agriculture. Cette information est ensuite reprise dans les modèles qui cherchent à expliquer la croissance par les modifications structurelles d’activité.emoticone

Cependant, l’application de la même formule aux services laisse perplexe. On sait que les progrès de la productivité dans ce dernier secteur sont généralement moins élevés que dans l’industrie. Jean Fourastié dirait qu’ils sont « faibles ou nuls ». Le temps de travail nécessaire à un médecin pour ausculter un patient est sans doute stationnaire ces dernières décennies. En termes monétaires, sa rémunération relative a plutôt diminué. Pour autant, son niveau de productivité peut être très élevé : l’accroissement de l’espérance de vie en témoigne, même si la médecine n’est qu’un des facteurs de progrès.emoticone

On le voit, cette notion si essentielle à la compréhension de l’économie, cette notion qui est la source de l’amélioration des niveaux de vie et qui conditionne la répartition des revenus est difficile à construire, difficile à interpréter et, finalement, peu homogène dans sa signification.

( 28 septembre, 2007 )

la croissance économique

Cette dimension quantitative de la croissance économique est d’autant plus remarquable que :

  • Elle satisfait aux conditions d’une croissance saine et soutenable ainsi que l’illustre la préservation des équilibres globaux et la baisse continue de l’inflation qui a été ramenée à un niveau de 1,9 % en 2001 contre 7,3 % en 1986.
  • Elle s’est appuyée sur une plus grande diversification de l’économie comme en témoigne le renforcement de la part des industries manufacturières (17,8% en 1986 à 21% en 2001) et des services (38,3% en 1986 à 42,4% en 2001).
  • Elle est basée sur une plus grande efficacité de l’économie comme le reflète la contribution de la productivité globale des facteurs à la croissance qui s’est renforcée tout au long de la dernière décennie passant de 33 % durant la période 1992-1996 à 36 % pour la période 1997-2001.

la croissance économique  dans Non classé icon_arrowCette croissance a de surcroît profité à toutes les catégories sociales comme en témoigne l’accroissement soutenu du revenu par habitant qui a presque triplé en l’espace de 15 ans passant de 953 dinars en 1986 à près de 2978 dinars en 2001.

  • L’augmentation de la consommation par tête à prix courants à un rythme annuel moyen de 7,2 % durant la période du IXème Plan (1997-2001).
  • Le renforcement des créations d’emplois qui sont passées de 40 000 emplois en moyenne par an au cours de la période 1982-1986, à 56 000 durant la période 1992-1996 et à près de 64 000 pour la période 1997-2001.
  • Le recul de la pauvreté dont le seuil s’est situé à 4,2 % en 2000 contre 12,9 % en 1980.

icon_arrow dans Non classéCes réalisations sont confortées par l’élargissement de la classe moyenne qui recouvre désormais près de 80 % de la population, l’accès à la propriété du logement de près de 80 % des ménages, la quasi-éradication des logements rudimentaires qui ne représentent plus que 1 % du parc. En outre, quatre ménages sur cinq, dans le milieu rural, ont accès à l’eau potable et à l’électricité contre un ménage sur cinq en 1984.

( 28 septembre, 2007 )

Productivité et croissance

On dit que la croissance est « extensive » lorsque le volume de la production augmente proportionnellement aux facteurs de production et des consommations intermédiaires utilisés pour l’obtenir. Au contraire, la croissance est dite « intensive » lorsque le volume de la production augmente plus que proportionnellement au volume des facteurs de production et des consommations intermédiaires.La croissance extensive est nécessaire pour maintenir le niveau de vie d’une population en croissance : il faut davantage d’écoles, de logements, de produits. Seule la croissance intensive, nourrie par les progrès de productivité, permet l’augmentation des niveaux de vie. Cette distinction est partiellement formelle dans la mesure où, comme l’indique A. Sauvy, les investissements démographiques nécessaires pour assurer le maintien des niveaux de vie incorporent nécessairement les progrès économiques généraux.

La croissance intensive se définit comme un accroissement de la production qui est plus que proportionnel à l’accroissement des facteurs de production utilisés.

Les sources de la croissance intensive

Pour bien comprendre que les sources de la croissance intensive sont variées, on les classera en considérant d’abord celles qui n’utilisent pas de capital supplémentaire pour traiter ensuite des effets de substitution entre travail et capital.

1.    La division du travailChacun sait que l’enquête d’Adam Smith porte sur la richesse des nations. Chacun sait aussi que la réponse principale se trouve dès le premier chapitre sous le thème de « la division du travail ». Mais, dans l’exemple de la manufacture d’épingles, l’accroissement substantiel de la productivité est obtenu sans usage de capital supplémentaire. Il est vrai que, en 1776, James Watt n’avait pas encore mis au point sa fameuse machine à vapeur. Cependant, un siècle plus, tard, lors de sa première expérience de direction scientifique du travail, Frédéric W. Taylor n’utilise pas davantage de capital. Même le premier test du convoyeur d’Henri Ford est réalisé à l’énergie humaine. Beaucoup plus tard, c’est encore une réflexion sur les méthodes de travail qui aboutira au toyotisme. L’organisation du travail est donc, en elle-même, une source de productivité.

2.    Les économies de consommations intermédiaires

La notion de productivité des consommations intermédiaires est trop souvent oubliée. Or, elle représente une des sources extraordinaires de la croissance.
 
Bien entendu, il ne faut pas confondre le mouvement microéconomique de productivité des consommations intermédiaires avec les indicateurs macroéconomiques qui témoignent d’une diminution de la consommation d’énergie par unité de PIB. Ces derniers en effet sont la somme des premiers et d’un effet de structure : avec le développement économique, la production d’acier (consommateur d’énergie) représente un pourcentage décroissant de la production totale, du fait de la consommation de services (moins gourmands en énergie).

La lutte contre le gaspillage s’inscrit globalement dans cette logique d’économie des consommations intermédiaires. On a ainsi observé que « le coût pour les entreprises de l’ensemble des défaillances et gaspillages entraînées, retours-clients, etc.) a été estimé en France à 1 000 franc par mois et par salarié de l’industrie » (Marie-Florence Estimé, 1988, p. 30)

La révolution agricole est un excellent résumé de toutes les améliorations de la croissance intensive. Le changement des rythmes d’assolement représente une véritable « direction scientifique du travail » ; l’amélioration du rendement des semences relève de la productivité des consommations intermédiaires – d’où le débat sur les OGM – tandis que l’usage des machines agricoles relève de la substitution du capital au travail.

3.    Le capital et l’accroissement de la productivité

A nouveau, le rôle du capital dans la productivité peut se lire de deux façons. En premier lieu, du fait de la substitution du capital au travail, ce qui accroît la productivité apparente du travail et rend donc possible l’augmentation du revenu du travailleur. Ensuite, l’amélioration des machines elles-mêmes fait que, pour la même somme (en euros) la machine la plus récente a une productivité plus élevée que la génération précédente. On parle d’obsolescence pour décrire ce fait que les nouvelles générations de capital sont plus productives. Les ordinateurs nous auront habitué à cette évolution.

Pour autant, la substitution de capital au travail n’est source de productivité que sous certaines conditions qui relèvent, pour l’essentiel, de la comparaison entre le prix de la machine et l’économie de salaire qu’elle engendre.

Dans la pratique, on a pris l’habitude de présenter les résultats de la croissance sans préciser s’il s’agissait de la croissance économique globale, du produit par habitant, voire du produit par heure travaillée. Cela peut conduire à des confusions dans l’interprétation des phénomènes de croissance. P. Krugman a ainsi modifié la perception que l’on avait de la croissance asiatique en parlant d’une croissance « par transpiration » plutôt que « par « inspiration ». L’image est porteuse de sens dans la mesure où elle signifie, bien entendu, qu’il s’agit d’une croissance plus extensive qu’intensive mais surtout parce qu’elle montre que la concurrence issue de cette zone géographique peut être contrée par de l’invention et de la productivité.Estimé Marie-Florence (1988), « La

( 20 mai, 2007 )

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